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Le CSHL victime d’une machination politique tripartite

Le rideau est enfin tombé sur le championnat en Tunisie pour l’exercice 2019 – 2020. Si pour le haut du tableau les choses étaient plus claires avec une hiérarchie traditionnelle plus ou moins respectée et un heureux invité dans le peloton de tête qu’est l’U.S.M.O , en bas du classement le suspense a plané jusqu’aux dernières secondes du temps additionnel pour les cinq clubs concernés et menacés de relégation. Au final , deux clubs ont été condamnés à la descente au purgatoire : La J.S.K et le C.S.H.L. Si pour le club de la ville des  » Aghlabides » son destin n’était pas dans ses mains. Par contre pour le club banlieusard , un petit point aurait suffi pour lui garantir le maintien. Ce qui intrigue dans ce dénouement triste pour les deux clubs relégués et particulièrement pour l’équipe hammamlifoise est la manière avec laquelle son adversaire du jour le S.T avait négocié ce dernier match de la saison. Démobilisés depuis belle lurette et sans aucune obligation de résultat , les stadistes du Bardo ont joué avec une ardeur inouïe et une détermination sans faille comme si c’était une question de vie ou de mort. On ne leur a jamais demandé de lever le pied mais leur rage de vaincre et leur hyper motivation étaient étonnantes. C’est ce qui a laissé entendre qu’ils étaient venus pour une mission bien déterminée : Faire tout leur possible pour barrer la route du maintien à l’équipe locale. La question qui se pose est pour qui ont – ils joué ce jeu de vaillants gladiateurs ? Tout cela fait sentir quelque chose d’impure. . Il s’est avéré que durant toute la semaine qui avait précédé la clôture du championnat , l’hémicycle du Bardo et principalement ses coulisses ont été le théâtre de mouvements et de concertations louches entre certains députés du parlement dont les affinités sportives sont connues et sues de tout le monde et comme par simple coïncidence elles concernent directement les clubs qui ont échappé à la relégation. Allez comprendre quelque chose dans cette magma politique confuse et sournoise.
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