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Dissolution du CS Chebba: Wadi Jari , le pyromane , est passé par là ! …
Sous couvert d’une législation qu’il avait cousue lui-même et qu’il avait taillée à sa mesure avec la complicité de ses Béni oui ; oui et ses nombreux flatteurs qui vivent aux dépens de celui qui les écoute , Wadii Jari le nombril du monde et l’incomparable président de la F.T.F est sorti de ses gants pour mettre en exécution son plan machiavélique et dissoudre le C.S de Chebba. Belliqueux et belliciste à souhait ; rancunier et sadique des os jusqu’à la moelle , il a sournoisement préparé sa vengeance pour punir les auteurs du crime de lèse majesté et tous ceux qui ont mis en doute son intégrité.
Obsédé de pouvoir et d’autorité , le nouveau dictateur de la Tunisie post-révolutionnaire continue à faire fi de la solennité de l’Etat pour semer en toute quiétude les graines de la haine ; de la discorde et de la violence. Il était dans tous ses états de voir un club réaliser au bout de trois ans une réussite sportive aussi fulgurante et parcours plus qu’honorable en un an d’existence en L.P1. Par sa décision aberrante et injuste , il veut ruiner les espoirs de toute une ville enorgueillie par son équipe entrée de la plus belle manière dans la cour des grands. Il se délecte en brisant l’élan de jeunes dirigeants dévoués qui consentent tous les sacrifices du monde pour encadrer les jeunes d’une paisible localité et les prémunir contre la délinquance en leur offrant les meilleures structures pour la pratique du sport. Pour satisfaire un égo obsédé d’extravagance , il ne trouve aucune peine pour mettre en péril la sécurité de toute une région et par là de tout le pays.
Les jeunes de la ville de Chebba , dans un sursaut d’orgueil, vont manifester leur colère contre cette injustice. De tels mouvement de contestation souvent incontrôlés peuvent à tout moment déraper et conduire au pire. Qui va assumer les pots cassés d’un éventuel dérapage ? Bien sûr notre souverain assis confortablement dans son fauteuil va certainement savourer son plat de vengeance à froid.
Ce qui est vraiment déplorable jusqu’à présent est que l’Etat dans toute sa grandeur n’a pas encore riposté pour arrêter le manège de cet homme aux dents longues ; au pouvoir tentaculaire et aux ambitions voraces. Mounir Gaïda
Obsédé de pouvoir et d’autorité , le nouveau dictateur de la Tunisie post-révolutionnaire continue à faire fi de la solennité de l’Etat pour semer en toute quiétude les graines de la haine ; de la discorde et de la violence. Il était dans tous ses états de voir un club réaliser au bout de trois ans une réussite sportive aussi fulgurante et parcours plus qu’honorable en un an d’existence en L.P1. Par sa décision aberrante et injuste , il veut ruiner les espoirs de toute une ville enorgueillie par son équipe entrée de la plus belle manière dans la cour des grands. Il se délecte en brisant l’élan de jeunes dirigeants dévoués qui consentent tous les sacrifices du monde pour encadrer les jeunes d’une paisible localité et les prémunir contre la délinquance en leur offrant les meilleures structures pour la pratique du sport. Pour satisfaire un égo obsédé d’extravagance , il ne trouve aucune peine pour mettre en péril la sécurité de toute une région et par là de tout le pays.
Les jeunes de la ville de Chebba , dans un sursaut d’orgueil, vont manifester leur colère contre cette injustice. De tels mouvement de contestation souvent incontrôlés peuvent à tout moment déraper et conduire au pire. Qui va assumer les pots cassés d’un éventuel dérapage ? Bien sûr notre souverain assis confortablement dans son fauteuil va certainement savourer son plat de vengeance à froid.
Ce qui est vraiment déplorable jusqu’à présent est que l’Etat dans toute sa grandeur n’a pas encore riposté pour arrêter le manège de cet homme aux dents longues ; au pouvoir tentaculaire et aux ambitions voraces. Mounir Gaïda
